Chers compatriotes, mes chers amis de la lutte.
Assalam ghalaykum.
Depuis maintenant 4 ans, nous n’avons pas cessés de nous révolter contre la dictature et la
tyrannie, dans notre cher pays, et pour le retour d’un état de droit. Une minorité sélectionnée et
corrompue par le dictateur Assoumani Azali, ont choisie de profiter notre malheur pour construire leur bonheur. Hélas, ils étaient parmi nos dignitaires, religieux ou coutumiers. Ils exhibent là, la preuve de leur soit disant intelligence, quand ils réussissent à vivre mieux, même dans la soumission, la honte, et l’inhumainisme, pendant que la plus part crèvent de faim et boivent leur sueurs.

Assoumani ne se soucie de rien. Sa seule préoccupation est d’encaisser plus d’argent pour
AMBARI et ses enfants. Après avoir fait le tour du monde au frais des pauvres contribuables
comoriens, et vendu au plus offrant le contenu des ciel, terre, et mer, des Comores, il vient nous vendre la présidence de l’Union Africaine, comme gâteau apporté aux bébés. Quels mépris a l’égard d’un peuple dont sa seule erreur fut de lui accorder encore une seconde chance !
Quels mérites, quelles compétences, quelle expertise et quel moyen crois tu avoir, plus que les présidents de l’Afrique de l’Ouest démocratiquement élus ou souverainement et légitimement intronisés ?
T’ais tu demandé pourquoi les autres qui méritent de loin cette responsabilité ne se sont pas bousculés pour briguer ton « eldorado » ?
Aujourd’hui nous foulons l’injustice, nous baignons dans la mauvaise gouvernance et la terreur érigée en mode de gouvernance, et nous finissons dans un système de guillotine d’Etat, qui organise des assassinats clandestins planifiés dans l’ensemble du territoire. Et l’Etat qui prétend ne pas être concerné ne se soucie de rien.
Manifestations de contestation, arrestations et emprisonnements arbitraires des opposants; la situation reste singulièrement inquiétante aux Comores.
Nous avons réussi à dénoncer et signifier à tous les instances de l’opinion internationale, le caractère autoritaire, dictatorial et illégitime de ce régime dirigé en main de fer par ce putschiste récidiviste, face à une population pacifique et abusée.
Aymane le Martyre de la Barbarie
Le 26 février dernier, comme la mort de Comandant Faisoil, Dr Djaza, Bapalé et j’en passe, n’étaient pas suffisantes, le chef d’état major nommé général pour mener à bien les assassinats présidentiels, vient d’ordonner l’impardonnable.
En effet, l’assassinat du jeune AYMANE qui a eu lieu dans le camp militaire de Mdé au sud de Moroni a provoqué encore une fois l’indignation de tout un peuple.
Ce jeune homme de 24 ans est arrêté et séquestré dit on, pour des faits de vols. Il fait l’objet d’une torture d’une rare violence jusqu’à ce que sa mort s’en suive. Une unité de la gendarmerie nationale au nom de PIGN, spécialiste à la torture du régime d’Azali Assoumani ne l’ont pas laissé aucune chance de survie. Sur le corps du jeune Aymane on constate plusieurs plaies profondes et des ecchymoses par endroits. On y voit des traces de la torture sur les épaules, le dos et les pieds.
Ces assassins se sont servis d’objet contendant pour le finir. L’un des traumatismes crâniens qui témoigne ces macabres actions lui a causé la mort. Il saignait par l’oreille gauche, ce ci en plus de plusieurs hématomes au niveau fessier. Aucune partie de son corps n’a été malheureusement épargnée par les violences physiques qui lu ont été infligées par ses ravisseurs. Le corps est couvert par endroits par des sacs en plastique pour recuire le sang. Il a été remis à la famille pour enterrer sans suite. Il s’en suivra la note n° 23/083/EM de Youssouf Idjihadi le grand chef d’état major, qui met en garde à toute personne militaire ou civil de l’armée, qui témoignera de quelque manière que ce soit aux tortures sévis à AYMANE. Cette personne coure un grand risque disciplinaire pouvant allé jusqu’à sa radiation. NOUS DISONS NON AU PERMIS DE TUER DONNE A L’ARMEE COMORIENNE.
Mes chers amis
Dès le début de cette année les mises à jour nécessaires pour faire face au défit imposé par cette dictature se poursuit.
Restons vigilent, confient et persévérant. Soyez sûr que nous les aurons ces ennemis de la nation. Ils seront jugés par le peuple pour haute trahison. Et cette fois ci, une vraie, pas celle imaginée et mal conçu contre Ahmed Abdallah Mohamed Sambi.
Vive les Comores et vive la lutte contre la dictature ;
MPAKA DAWULA YAHAKI,
Je vous remercie.







Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.