Crier aux oreilles des OISEAUX mangeurs de récoltes est folie, si l’on espère de leur part une réponse, si l’on espère un regard charitable. Car de même que d’autres espèces animales, ces volatiles ne comprennent pas le langage des humains, ignorent leurs appels au secours, ignorent leur douleur ou leur joie.

Qu’importe-t-il donc aux oiseaux ?
Vous l’avez sans doute deviné :
VOLER LA HAUT ET MANGER. TEL EST LE BONHEUR DES OISEAUX.
Et cela jusqu’au jour où ce même vent qui les porte devient tempête.
Abde Wadjih
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