Trois situations se présentent dans les trois îles des Comores et je me demande si vraiment nos responsables politiques mesurent l’impact aux yeux de la communauté internationale.
Je vais illustrer ces situations à travers les images que j’ai récupéré dans différents pages des facebookeurs. Je suis traumatisé en voyant ces images. Ce que je peux faire là où je me trouve c’est de faire de la sensibilisation. J’utilise le geste du Colibris.

– L’épidémie fait des ravages à Moheli par manque de moyens matériels même les médecins sont à bout de souffle. On enterre tous les jours certains citoyens fuient en prenant la mer sans savoir où aller.
– Anjouan est dévasté par la montée des eaux dans les maisons. Une pluie torrentielle ravage Mutsamudu et on n’entend plus parler
– Ngazidja continue à danser sous l’autorisation du président Azali qui, lui même s’enflamme au milieu des femmes qui lancent les colliers de fleurs de jasmin autour du cou.
Les autorités, au lieu de faire le travail pour sauver le peuple, calomnient, arrêtent et emprisonnent toutes celles et tous ceux qui lèvent la voix pour dire que ce n’est pas la bonne voie.
La communauté internationale a déjà donné pour ces catastrophes à commencer par Kenneth, coronavirus et le développement.
Je ne pense pas que nos autorités puissent y retourner auprès d’elle puisqu’on à pas fait de bilan de ce qui est passé. Les 10% des fonctionnaires non payés ne suffiront pas boucher les trous.
N’attendons pas les autorités par qu’il n’y en a pas. Retrouvons notre solidarité nationale, la seule voie possible pour sauver notre pays.
@DAULA YAHAKI
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