Chers compatriotes ;
Mes chers amis de la lutte contre la dictature et la débauche intellectuelle dans notre pays.
La diaspora comorienne vient de démontrer à travers le ANDA combien elle est attachée à son pays les Comores. On peut ne pas être d’accord avec un système féodal d’autrefois mais la réalité est là. Le pays est en extase et la manne financière de la Diaspora est palpable. La diaspora est présente sur le sol et la sueur de leur front coule oubliant au passage une crise planétaire aigue.

Mes chers amis
Face aux difficultés des comoriens, nous assistons à la débauche de nos intellectuelles, de nos religieux et une partie de notre diaspora. Les derniers nommés ces derniers temps par Assoumani Azali sont presque des diplômés. Les derniers à rejoindre la mafia sont des Oulémas.
Heureusement le diplôme ne fait pas l’homme. Nos intellectuelles le savent très bien que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Je ne cherche pas ici Place de la République à faire sortir Rabelais de sa tombe, mais ce message doit aller tout droit à 2 personnalités :
- A docteur Abdoulhakim qui manœuvre à Mbeni pour que la population accepte Assoumani Azali. « Vous êtes égaré malgré votre âge. Il est temps de vous ressaisir vers le droit chemin. Conseiller le bien et dénoncer les injustices. Voila votre mission comme homme religieux et moral. Mais faire le marketing d’Assoumani Azali en vous basant de la religion, Dieu vous punira tres sévèrement. »
- A docteur Mohamed Bajrafil qui manipule l’histoire moderne des Comores. Le prophète n’était pas du tout d’accord avec son oncle Abu Lahabi. Vous n’êtes pas obligé d’être le protecteur d’un assassin même si ce dernier est votre oncle.
Mes chers amis
Que reprochons-nous à Bajrafil ? Son exemple pour illustrer la paix ne passe pas.
Son discours pour la paix s’adressait aux victimes et non aux bourreaux. L’exemple de s’en prendre à celui qui touchera son oncle trahisse le fond de sa haine envers ceux qui pointent du doigt aux assassinats extra-judiciaire. Et pour cause l’homme en question est un assassin. Si Bajrafil voulait être respecté comme un religieux il aurait due emprunter le chemin du Prophète paix sur lui. Ce dernier appela sa famille, ses proches et ses compagnons d’abord pour leurs annoncer sa mission d’adorer un Dieu unique.
Monsieur Bajrafil a-t-il critiqué son oncle une fois ? non et non au contraire. Il nous annonce que c’est Youssouf Idjihad qui a financé ses études.
Mes chers amis
Notre Charlatan a oublié que le prophète était sous la tutelle d’Abu Toilib, son oncle était Abu Lahabi. Les 2 étaient en contradiction totale avec notre prophète. Quel sagesse tiré de sa sortie hors piste ? Depuis qu’il est nommé ambassadeur de l’Unesco, le petit a perdu sa boussole, sa vertu et sa dignité. Il a organisé une première fois à la Mosquée d’Ivry sur seine la prière de vendredi avec Assoumani comme Imam. Ce n’était pas religieux mais c’est pour satisfaire les envies de son despote. Il a récidivé à la mosquée de Vigneux-sur-Seine sachant que les combattant du Dawula ya haki se positionnaient ailleurs pour empêcher Assoumani Azali de diriger la moindre prière..
Mes chers amis
Ce Bajrafil veut qu’on laisse la religion tranquille en lui laissant tout seul le soin de l’interpréter à sa guise pour glorifier son monarque. La paix pour lui c’est de ne pas penser à la vengeance. La paix pour lui c’est de laisser son Oncle nous tuer tous. La paix pour lui c’est accepté Azali Assoumani et de l’obéir aveuglement. La paix pour lui c’est de croire que ce qu’il dit vienne de « Dieu lui-même ».
Par conséquent, Bajrafil incite les comoriens à se faire justice eux même. Il n’a jamais condamné les exécutions sommaires de son oncle Youssouf Idjihadi. On ne l’a pas entendu quand le majore Bapalé torturé, séquestré jusqu’à son enterrement sans le rite islamique.
Je vous rappelle mes chers compatriotes, un musulman qui est mort nous les vivants sommes dans l’obligation :
- De le laver
- De l’habiller
- De prier sur lui
- De l’enterrer
Puisqu’il se croit religieux, mollah, philosophe, ouléma…., son oncle pratique cela sur ses victimes ? non il les enterre comme des chiens. Nous avons vu Youssouf Idjihadi entrer au bureau de Djaza pour l’obligé à donner 104% au premier tour des élections présidentielle en faveur d’Azali. Nous ne l’avons pas vu au moment où ce même Djaza assassiné gisant dans son bureau.
Mes chers frères et sœurs
Les assassinats se multiplient dans notre pays autrefois havre de paix dans le monde. Les exécutions extrajudiciaires de l’Oncle de Bajrafil sont dans une impunité totale. Les exécutions par « pendaison » des hommes d’affaires étrangers dans notre pays inquiètent tout le monde surtout les milieux économiques. Les exécutions des hommes et femmes riches de notre pays ressemblent à une méthode bien rodée. Nous avons des exemples du sud africain, de madame Sittou, ainsi que d’autres entrepreneurs rackettés, floués puis assassinés.
Que vive les Comores ; Nous vaincrons.
Mpaka dawula yahaki.
Je vous remercie.
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