Les rumeurs qui courent à travers les médias font état d’un Bobocha mort assassiné cruellement par le fils d’Azali. Tous les journalistes qui essayent d’entrer en contact avec Bobocha, n’entendent que son fantôme qui s’est infusé en Mme Sittou. Cette dernière est une sorcière habile : Ne pouvant pas connecter qui que ce soit à Bobocha, pas même son avocat et pourtant par la médiumnité des droits de l’homme, elle seule peut entendre Bobocha. Devrons-nous juste la croire ? Autant demander à cette sorcière. Est ce que la gendarmerie de Mdé est dans l’au-delà au point que là où Bobocha se trouve, il ne pourrait être vu que par elle seule ?

Bobocha est-il vivant ? Idem est esse aut non probari (ne pas existé et ne pas être prouvé, c’est la même chose).
Cela dit «la justice est une affaire de preuve plus que de vérité ». Cette preuve n’est pas exclusivement l’apanage du prétoire mais englobe toutes les domaines du droit. Or lorsqu’il s’agit des droits de l’homme, Mme Sittou déroge à cette règle.
Sans preuve que Bobocha est vivant, Le moins qu’on puisse dire, il est porté disparu.
Curieusement, en deux fois Mme Sittou en impitoyable veuve noire raconte qu’elle s’est rendu toute seule au chevet de Bobocha. A chaque sortie, elle rameute la presse pour prétendre constamment qu’elle l’a vu vivant. Mme Sittou ! Qu’entendez-vous par le droit à la manifestation de la vérité ?
Mme Sittou préside la commission nationale des droits de l’homme et des libertés aux Comores. Cela signifie qu’elle autant que maitre Gérard sont les avocats de bobocha. Au regard de la loi, le rôle de l’une comme de l’autre est de veiller scrupuleusement aux respects des droit de Bobocha. Alors pourquoi l’état fait entièrement confiance à elle alors qu’il cache tout à maitre Gérard ? Pour la simple raison que toutes les élucubrations de cette dame ne sont que manœuvres dilatoires pour couvrir des crimes abominables. Plus la tyrannie et l’oppression ont pris des hauteurs des nuées, autant cette femme démoniaque aux gros yeux de Lucifer persiste dans ses dérives de transformer le CNDHL en cimetière des droits de l’homme.

Son passé nous dit assez. Ça donne envie de vomir lorsque pour jouir des faveurs du criminel Azali, l’odieuse Mme Sittou gicle une baie de mensonge pour couvrir les exactions et les exécutions sommaires. Sans aucun remord, elle reste impassible pendant qu’une colonne de martyrs tombent sous les affres de la dictature.
Qui aurait imaginé que la défense des droits de l’homme serait entre les mains d’une femme immorale et malhonnête. Impitoyable est cette crapule au cœur sans état dame.une gigolette de foire : pas à cause de son genre mais plutôt quelle est la honte exécrable pour la gente féminine.
Mme Sittou Raghadat Mohamed est une femme déloyale, mesquine et cruelle qui, à la place d’un lieu sacré pour les droits de l’homme, a transformé le CNDHL en base arrière de la dictature.
Par Cap Patrie
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.