J’accuse son ministre des finances. Et les pieds à Rotary, quelque chose qui n’est pas anodine.

Heureusement un Rotary sans aliments… ce mois béni. « Erandala kana mwandze, kana mkaribu mwahe. owahahe humwepva… », il faut rendre à César ce qui appartient à César. Car, je ne connais rien en secret de polichinelle, j’évite de parler d’obédience. Donc, j’évite de parler de l’île Bourbon, de l’île Mayotte ou de Ndzauze dans le Mitsamihuli. Et, maudits soient les réseaux sociaux faisant qu’arrive à cerner que César n’est pas bien dans sa peau. Dans les darsats, assis qu’il est, César dandine. A chaque seconde, ses yeux rivent de gauche à droites. Ce n’est pas anodin. Comme disent nos mères : « mnkundzi ngulo matso… hemadisa nao kwawadja », à ces heures-ci chez César, se dit « César ngulo matso hemadisa wadjo hudiza ». Sinon on veut un César vivant avec une longévité et une santé morale qui sentira le châtiment, inshallah. Passons.
Quand le régime de banane « Paka » a été hissé dessus sa tête, César a perdu son visage normal. Sinon, jure par l’archipel des ingrats, et où le criminel est saint au détriment de son dénonciateur, que César n’a rien pigé à Rotary club. J’accuse ses conseillers. C’est là où la ligne sur le cahier en flot cramoisi de sa vie est marquée. En tout cas depuis juin 2019 où l’actuel ministre des khmers rouges comoriens a eu le collier au tout de son cou, des amour-propres se déterrent… Même la classe basse est accordée. Là, tu trouves Mna Moussa, Mna Alii, Mna Camar, Mna Hamada, Mna Ahamada, puis se qui se bousculent pour y arriver comme Mna Abdillah, Mna Saandi et tant d’autres. N’est-ce pas une classe basse ? Tous conscients de l’anhélation de César. Sinon Passons.
Ne respectant pas le repos que son médecin lui a prescrit, César s’entête face à une population qui crie César est entamé. Au lieu de se soucier de sa santé, il aime exécuter des pas pour un déni que tout va bien alors que l’affliction est de mise. Les factions se consultent, les engins dans Bête-Salam, se dérouillent car une heure pourrait sonner. Quand on parle d’une réélection en France, on parle d’une chance perdue d’un César îlien car, ce réélu ne méplat pas avec les corps mais avec le cerveau, or un bulbe s’en est décollé. Dandinement des yeux, battement de cœur. César refuse le repos parce qu’il a appris. Et ce refus engendre une assimilation régressive. Ce qui n’avantage pas la dissuasion d’un monde. Passons.
Les trois consultés pour déposer et poser, sont repartis dans différents coins. L’un est apolitique, l’autre devient un politique passif et l’autre aussi un politique actif mais taciturne. Je n’ai rien dit car, je ne suis pas fort en secret de polichinelle. César patine ces heures-ci et ses indications lui informent le vrai climat. Le souci s’empire davantage et c’est pour cela qu’il refuse le repos, les siestes et autres. Illustration, son discours du Rotary club lors du foire au « Paka »… en fin de ramadan. L’homme au deux heures de discours n’en a fait que trois minutes et deux secondes. Conscient du climat qui lui est défavorable de ces dernières heures, César a le cœur ailleurs. Sinon la trahison d’un milieu ne lui est pas encor encré. Peut-on parler du pareil que l’histoire Kari wadjaé et Msa fumu… ou de Msankasi wa Ilali et Said Ali ?
César, se fait piégé, j’accuse son ministre des finances.
Said Yassine Said Ahmed
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