Pour des raisons liées à notre histoire et aux ratages successifs de notre pays, une diaspora comorienne active existe. Dans certains cas, ses enfants ont eu accès à une bien meilleure éducation scolaire et universitaire que l’offre locale. Beaucoup d’entre eux ont acquis, dans la vie professionnelle, des compétences rares qui sont utiles à notre pays à l’exemple des joueurs de l’équipe nationale de foot qui nous a emmenés à un niveau initialement impensable.
Nous devons mener des politiques qui attirent les compétences de la diaspora et non pas le contraire. Pas pour leurs beaux yeux mais bien parce que nous avons besoin d’eux pour changer de logiciel et espérer nous développer. Nous devons encourager vigoureusement le retour et surtout pas éloigner les Comoriens de l’étranger.
Par Ali Moindjié
transfert argent fonds des migrants toujours en hausse en Afrique (latribune.fr)
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