La justice comorienne est détruite et les avocats cautionnent cette descente aux enfers !
Dans une République c’est le domaine judiciaire qui est plus sollicité pour réguler l’exécutif et les parlementaires. Aux Comores on ignore ce mécanisme où tout repose sur les mains d’un seul homme : Gozibie.
Nos hommes et femmes de droit ont participé à la destruction de la République se contentant d’avoir seulement des clients. Ces derniers ne chaument pas dans leurs cabinets respectifs tellement les injustices que la population subit, suivent une croissance exponentielle.

Des employés radiés sans raison, des victimes de violes, des mineurs abusés, des élections truqués, des parlementaires nommés et j’en passe, pour ne pas trop vous saouler. Pire au barreau de Moroni on avait un chef de la Mafia puis on l’a remplacé par un chef de cartel. Nous assistons à des procès où les avocats plaident hors textes juridiques. On négocie en prison, on force un client à plaider coupable pour un crime qu’il ignore. « Nul n’est censé ignoré la loi » mais nos avocats zappent sciemment cette expression pourtant fatal pour un citoyen lambda.
Aux Comores on confond souvent un magistrat, un procureur et un conseiller. En tout cas les 3 ne sont pas critiquables comme ailleurs. La justice est devenue le lieu de la corruption absolue et de non droit. L’ancien ministre c’est un ancien violeur, le nouveau un repris de justice, le bâtonnier un voyou tout simplement. Il nous reste des petit avocats qui sous-traitent la souffrance des comoriens pour se faire les pleins des poches.
Aujourd’hui ils sont en grève car ils sont momentanément victimes. Seul 3 petits malfrats se désolidarisent de leurs camarades. Il s’agit d’Itibar un con dont dans un pays normal ne mettra jamais ses pieds dans milieux judiciaire. Le second Azad ancien procureur qui confond tout et n’importe quoi. Sa place est en prison et le voire mettre une robe d’avocat n’honore pas la justice. Le dernier Mzimba un chef de la mafia.
Comment avec des gens pareils espérer avoir une justice équitable ?
Plaider chez Harmia, Abodo et cheik Salim c’est faire appelle à Satan pour un ultime désespoir de ne pas rentrer en enfer.
MAHAMOUDOU Ali
Choisy-Le-Roi
Laisser un commentaire
Vous devez vous connecter pour publier un commentaire.