À propos de Genève, ce fut une belle démonstration de l’attachement de la diaspora comorienne au pays d’origine, par la célébration de la fête nationale et par l’exigence du retour à l’État de droit.
Hommes, femmes, notables traditionalistes avec les tenues d’apparat, cadres et jeunes militants du dawula yahaki, c’est sur la Place des Nations, non loin du Conseil des Droits de l’Homme que les participants venus de différentes villes de France ont dansé et tenu des discours patriotiques et démocratiques, malgré un soleil de plomb.
Parallèlement, dans une salle du Club de la Presse internationale, une table ronde a permis de faire un état des lieux de la dictature azaliste, par une dizaine d’ONGs, mobilisées par ACI Human Rights, avec la participation d’une centaine de Comoriens, présentant ou écoutant attentivement les témoignages sur les violations flagrantes et permanentes des droits de l’homme, ainsi que les assassinats ciblés.
Sur ce plan, les plus emblématiques ce sont les éliminations du Cdt Faissoil et du Major Nacer
A propos de Ntsoudjini, les images parlent d’elles même. La ville est martyrisée jour et nuit avec des armes de guerre qu’on a l’habitude de voire à la télé sur les théâtre de guerre comme en Libye ou au Yémen.
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