Est-on en train d’assister à un nouveau renversement de situation en Éthiopie ? C’est en tout cas la question que RFI se pose. Les rebelles tigréens et leur coalition montée en toute pièce par Satan s’étaient récemment approchés à moins de 200 km d’Addis-Abeba, faisant planer une menace sur la capitale. Les chancelleries occidentales évacuaient leurs personnels. La France a même affrété des charters pours ses expatriés.

Mais depuis plusieurs jours, le gouvernement s’est engagé dans une large contre-offensive qui semble pousser les forces tigréennes à se replier. Vous avez entendu le mot « replier ». C’est justement le politiquement correcte pour ne pas dire vaincu, détruit, chassé, défait. Abiy Ahmed est au front et aujourd’hui la couverture quasi-totale des medias semeurs de troubles en parle peu de ce conflit. C’est un signe qui ne trompe personne, leur plan a échoué.
Une dizaine de villes auraient été reprises aux rebelles tigréens. Parmi elles, certaines sont stratégiques, comme Chifra sur le front Est, Shewa Robit sur le front Sud et Gashena sur le front Ouest. Ces mêmes medias qui faisaient la promotion des rebelle tigréens parlent aujourd’hui de génocide à la Ruandaise. Ils comparent la propagande du gouvernement éthiopien de la radio mille collines au Rouanda. Ils oublient vite le traitement qu’ils font à Abiy Ahmed sur ce conflit. Un Nobel devenu chef de guerre, peut on lire cela partout.
Abiy Ahmed voulait même créer son propre réseau social éthiopien pour répondre au lynchage dont il était victime. Aujourd’hui c’est l’inverse on nous dit que facebook est débordé par la haine en Ethiopie. On peut lire également que « les américains se positionnent à Djibouti, les américains ne font pas confiance à Abiy Ahmed, une coalition de groupes rebelle s’est formée »…..
Le courage au service de la nation
Le premier Ministre Ethiopien démontre que l’Ethiopie ne s’achète pas par un prix Nobel. Des sanctions il a reçu des américains, l’Erythrée seule pays frère qui l’aide en reçu également. Se trouver au front pour prendre le commandement, il faut être Abiy Ahmed. Le résultat est réelle la situation commence à se dégager. Bien sur il y a des morts. Mais parler de génocide au moment où l’armée éthiopienne gagne du terrain est de mauvaise fois. Les rebelles qui marchaient vers Addis-Abeba c’est sur des cadavres comme tapis. Le « génocide » à géométrie variable on a assez vu.
La capitale africaine est désormais hors portée des rebelles et tout africain devrait se sentir fier. Quand des rebelles en Afrique bousculent un tout petit peu un des dictateurs protégés par l’occident, la Franche au nom de la communauté internationale entre enjeu pour étouffer cela. Pourquoi j’ai l’impression que les rebelle tigreens sont aidés, financés pars les états unies, la France et l’union européenne ?
Qu’a-t-il refusé de les donner au point d’en vouloir à sa peau ?
WAIT AND SEE !
MAHAMOUDOU Ali
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