Par Dini Nassuri
N’oubliez pas de signer ICI https://www.change.org/non-a-la-dictature-aux-comores
Quand Wardat Monjoin Affende exprimait ses idées pour Naribarikishe Yi Komori, c’était une profession de foi.
« Résister est un devoir

Il y a bien des raisons, fondées, d’adhérer au parti Social-Démocrate Naribarikishe yi Komori. Je regrette simplement de ne pas avoir découvert son existence plus tôt. A ma mesure je ne manquerai pas de faire partager de mon mieux les états de lieu que vous posez, les interrogations que vous soulevez, l’attitude que vous adoptez.
Quand on appartient à une Nation qui s’appelle Union des Comores, résister est un devoir. La vérité et la sincérité sont des armes lentes mais d’un pouvoir dévastateur. Je vous remercie pour votre engagement que je souhaite vivace, car le combat est et sera rude.
Pour tous ceux et toutes celles qui sont de ma génération, et surtout de la génération qui nous précède, nous savons comment, dans un passé non lointain, s’était instauré sur notre sol un système politique qui broyait ses propres enfants – c’était hier seulement.
Mesdames et Messieurs, je suis venue dans ce nouveau parti d’abord parce qu’il constitue le premier rempart face à toutes les dérives du régime en place, qui démontre chaque jour qui passe ses insuffisances sinon son incompétence à donner du bonheur aux comoriens dans leur vie.
Plus grave est ce totalitarisme rampant qui, au fur et à mesure, installe ses tentacules dans notre pays pour nous submerger si nous n’y prenons garde, et croyez-le, le pire n’est jamais exclu.
Ensuite, Naribarikishe yi Komori me parait désormais en capacité de changer efficacement notre pays dans l’intérêt bien compris de tous ses fils et de toutes ses filles.
Tout régime qui s’appuie sur le favoritisme ou le clientélisme ne peut qu’échouer inéluctablement et c’est le cas aujourd’hui aux Comores
Chacun le voit bien à travers les nominations qu’il opère au niveau de notre administration centrale et territoriale sans parler des marchés publics qu’il attribue dans le secteur dit concurrentiel.
Comment voulez-vous qu’on fasse confiance à pareille administration pour l’organisation des élections dans notre pays où les cadres sont devenus de simples affidés du pouvoir ?
Nous voyons bien, comment celui qui a le statut de chef de l’Etat cultive le venin de la haine et de la division avec tant d’incohérences dans les propos que les observateurs de la scène politique constatent avec autant d’ahurissement.
Et dire dès maintenant à tous les partenaires de l’Union des Comores qu’il est grand temps d’agir en prenant leur responsabilité pour empêcher que demain, ne se produise encore l’irréparable.
C’est facile de dire, nous sommes un Etat souverain, mais cet Etat dit souverain est-il impartial vis-à-vis de tous les citoyens ? Evidemment non !!!
Bien entendu, nous n’avons de revanche à prendre contre personne, nous voulons juste une société où la primauté revient au droit et où l’égalité des chances ne sera pas un vain mot.
Enfin, Monsieur le Premier Sécrétaire, Mesdames et Messieurs, je viens vers vous et avec vous en militante dévouée pour aider notre pays à se relever et se tenir debout comme d’autres pays avant nous, ont pu le faire.
Encore une fois, je vous salue et vous remercie. »
Wardat MONJOIN Mgu namrehemu
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