Chers camarades de lutte,
Bonjour.
C’est toujours avec une détermination qui se nourrisse de plaisir et d’espoir qui m’anime, à chaque fois que je me trouve devant vous chers patriotes.
Cette tribune sensibilise, dénonce et proteste. Elle expose les tabous de la dictature, dénonce les acteurs, les commanditaires et les plans qui auraient pour fin de faire de l’Etat comorien, un royaume. Le royaume de la dictature, de l’injustice, de la corruption, de la violence, du vol, du viole, du banditisme, pour ne citer que de cela.

De cette tribune un travail exceptionnel et historique se fait. L’adage dit que : « il n’y a jamais un, sans deux ». Donc, si on a commençait c’est qu’on en finira un jour. Ainsi cette tribune promet l’espoir.
- L’espoir de voire un jour Assoumani sous les verrous et avoir du mal à ouvrir les yeux devant la lumière, comme c’est le cas actuellement de son excellence M. Ahmed Abdallah Mohamed Sambi.
- L’espoir de voir Ambari faire la queux pour apporter son sachet à la prison comme le fait la femme d’Abdallah AGWA.
- L’espoir de voire les Comores retrouver les couleurs d’une république, et les comoriennes et les comoriens unit par l’amour et la fierté d’être comorien.
Mes chers camarades ;
Nous ne cessons de dénoncer l’immersion délibérée des Comores, déguisée en émergence par Assoumani et sa bande.
Prise entre les pénuries des produits de première nécessité d’une part, l’écoulement des sociétés d’Etat d’autre part, sous la vapeur chaude des pandémies mondiales, les Comoriens sous Assoumani Azali meurent lentement, mais surement.
Aujourd’hui, entre Madagascar et les Comores, l’histoire des lingots d’ore qui alimentent un trafic entre les hauts sommets de ces deux états, refait surface. Les relations entre ces voisins se détériorent. Madagascar réclame ses lingots. Azali ne sait quoi dire. C’est au simple citoyen d’en subir les conséquences.
Ehht OUI, comme nous vous l’avons signifié dernièrement, les conséquences de lingots d’or que confisquent Assoumani pour un patrimoine de ses enfants, c’est encore à la population comorienne de payer le prix. Désormais, les vols entre Madagascar et les Comores sont conditionnés à la restitution du magot.
Mes chers camarades ;
Encore on assiste un autre scandale de plus; avec Assoumani les maladresses et les crises n’en finis jamais. Voilà qu’Assoumani nous démontre pour que les Comores émergent, il faut que le pays soit le théâtre des arnaques, des tortures et des suicides des investisseurs étrangers. Attend les ; ils viendront nombreux et nombreuses ! Mon œil.
En l’espace de moins de 2 mois, deux investisseurs étrangers se sont retrouvés mort ; de la même façon (mort par pendaison) et dans les mêmes circonstances (tortures morales, escroquerie, suicide). L4 UN 0 Domoni Anjouan, l’autre à Moroni. Un d’eux est un sud Africain au nom de HENRI dont, après l’avoir dépouillé et vidé tout au long de chaque étapes de la procédure légale, c’était le tour de Msaidié, le ministre magouilleur qui s’affirme le ramasseur des pots de vin grâce auquel ils construire lui aussi son châteaux. IL lui impose une licence imaginaire car non stipulé dans le document cadre à hauteur de 30 millions de nos francs.
Telle est devenue la routine dans la république d’Assoumani ; telle se caractérise le magouille et le « sauve qui peu » dans la gérance du gouvernement de fait d’Assoumani ; telle est la conséquence quand le pays est prit en autage et quand on ai gouverné par des irreguliers, des gens sans foie, qui ne voient que leur profit.
Dans cette affaire quelques chose étonne et froisse curieusement la population : le silence des investisseurs comoriens. Le silence de l’OPACO, le silence du MODEC dont il était membre. Tout ça constitue un étonnement dont on ne tardera pas à decouvrir les raisons.
Mes chers compatriotes
Sacher bien que malgré la crise socio-économique permanente dans notre pays, malgré une conjoncture internationale défavorable et une faiblesse des ressources financières persistante, les Comores auraient bien les moyens et les voies pour redresser la situation pour une vie meilleure. Tout doit commencer par mettre fin à ce régime mafieux, sans foie ni loi.
C’est pourquoi nous ne devons rien lâcher. Dénonçons ces bandits là où ils se trouvent. Djafar Salim (dit Sarkozi), est pourchassé par nos camarades à Marseille. Il a était sauvé par la police de Marseille, ramassé comme un cambrioleur au derrière d’une de leur vehicule et déguisé en DJ. Djae Ahamada Chanfi aurait dû subir le même sort à Sarcelle comme c’était le cas pour Ahamada makoshi à Bressuire.
Quand ils viendront ici, ils se déguiseront avec les châles de leurs femmes et vivrons dans des trous comme des rats ; c’est le prix de leur arrogance.
Quand aux institutions et pays qui continuent à composer avec ces ennemie de la nation comorienne réduite au silence par la dictature Assoumanienne, nous leur disons qu’aussi longue qu’elle sera la nuit, elle ne pourra jamais se débarrasser la journée. Ils ont donc à choisir entre leurs profits d’aujourd’hui, sous la magouille d’Assoumani et sous le dos des comoriens, ou le partage mérité et légale sous une amitié sincère et le consentement des comoriens, de demain.
La mort ou la patrie ; nous vaincrons.
Vive les Comores
MPAKA DAWULA YA HAKI
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