Chers compatriotes,
Mes chers camarades ; salam.
Notre pays va mal. Il est plus que jamais en danger. Nous n’avons pas cessé de dire que la politique conduite par le putschiste dictateur Assoumani Azali, oriente inexorablement notre pays à sa faillite et à son déclin.
Il est clair, que la volonté du colonel fou est d’humilier les Anjouanais, et les mépriser. Après avoir achevé Ahmed Abdallah Mohamed Sambi et tenu en cavale le gouverneur Abdou Salami condamné à une peine d’emprisonnement de 15 ans, sans possibilité de recours, il ne lui restait que d’amener sa femme au pied de la tombe, pour allait faire la fête à Anjouan. C’est un rituelle qu’il a l’habitude de le faire. Quand il tue quelqu’un, il faut qu’il se rende chez lui pour y savourer la douleur de ses proches.
C’est une façon de démontrer au monde que tout est calme au Comores et particulièrement à Anjouan. C’est ce qui lui préoccupe d’ailleurs; c’est de montrer qu’il n’y a rien a craindre au Comores et que tout est sous contrôle. Et au prix de quoi ? Pour réaliser ces seines de théâtres, il lui a fallu rendre la population si pauvre pour pouvoir la rendre facile à corrompre. Des milliers de gens sont payés, rien que pour afficher leur présence dans chacune de ses apparussions. Et comme ce n’est pas suffisant, il menaça de sanction administrative à tout fonctionnaire qui ne se rendra pas à l’aéroport à son arrivé. Il ferme les écoles pour que les écoliers et les enseignants s’y rendent aussi à la messe.
Cher camarades ;
Nous assistons tous les jours aux allocutions du gouverneur Anisse Chamsidine qui ne cesse de dénoncer la prise en otage et la séquestration de l’île d’Anjouan par le bourreau Assoumani. Plus de 70 personnalités politiques anjouanais sont aujourd’hui détenus dans les geôles du colonel fou Assoumani à Anjouan.
Derrière tous ses actes barbares et indignes ce ne sont pas seulement des hommes et des femmes qui se voient privés de vie, menacés et humiliés, mais c’est la paix et la concorde nationale aussi.
Nous apprenons que le jour que les comoriens attendaient le jugement tant attendu de l’ex Président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, le Grillot Bellou, conseiller à la présidence auprès de l’armée, assistait le théâtre sur le dit procès à la gendarmerie nationale de Moroni. Dans un environnement de fête ; Café, amuse gueule, des rires et accolades animaient ces instants.
La télévision allumé le chef Bellou suit en direct les derniers instants d’Ahmed Abdalla Sambi avant sa mise à la guillotine. Quand à un moment Sambi a comprit qu’il s’agissait d’une pièce théâtrale et à demandé la parole avec insistance, car le juge Omar tenait lui aussi de suivre les consignes qui lui étaient donnés par Assoumani et Bellou, qui consistaient de ne pas lui accorder la parole. Mais Sambi, malgré son affaiblissement, il a su garder toujours ses empreintes et s’accroche à la position de dire son dernier mot leur signifiant son retrait à cette mascarade avant de leur laisser en finir sans lui, pour qu’il ne valide pas leur parodie de justice.
C’est fut la grande colère à la gendarmerie qu’a piqué Mr Bellou, nous décrivent ceux qui vivaient ses moments de métamorphose de Bellou. Bellou cria et commença a saccagé tout ce qui se trouvait autour de lui. Il traita le juge Omar d’imbécile. « On lui a bien répété et ordonné de ne jamais donner la parole à sambi » dit il. « Ce connard va voir, la somme promise ne lui sera pas versée à sa totalité ; afirme Bellou. .
On apprend que depuis quelques jours la rumeur s’amplifie sur l’état de santé mentale du juge Omar. Il ne cesse de réclamer au téléphone que lui seul a fait le sal boulot et qu’il veut son argent. Ces proches s’inquiètent, de ne pas suivre le même sort que le docteur Djaza promis au poste d’ambassadeur au Sénégal et ne l’obtiendra jamais jusqu’à ce jour où il menaça de divulguer des informations s’il ne l’obtient pas. C’est fut son dernier jour, on lui trouvera assassiné sauvagement dans son cabinet.
Depuis quelques jours, le juge Omar ne parle plus, il fixe parait il son regard vers le néant. A t’il perdu la tête ?
Cher camarades ;
Maintenant, après avoir mis le feu partout dans les cœurs des gens et éteins l’espoir dune véritable justice et d’un bon vivre ensemble au Comores, il prépare ses seines de payer ces complices pour aller lui supplier de faire ce qu’il a prévue de faire.
Nous assisterons des délégations corrompues qui se défileront pour aller maintenant demander au fou d Assoumani de pardonner ses victimes pour l’intérêt de la nation. C’est pour se construire une occasion de paraitre le sauveur du pays qu’il détruit. Il acceptera à ses conditions entre autres, que ses opposants ne l’opposent plus jamais.
C’est comme demander au pyromane d éteindre le feu qu’il a volontairement mis.
Chers camarades ;
Les contorsions juridiques accomplies, notamment en matières procédurales pour valider la saisine de la cour de sûreté de l’État, n’ont rien à envier aux procès staliniens, dans la mesure où l’objectif visé est d’écraser à jamais la personne poursuivie. Mais la vérité est têtue; elle finit toujours par émerger là où l’on croit pouvoir la cacher .
Le moment viendra où la lumière sera faite sur les instructions qui nous gouvernent avant de procéder à l’évaluation des acteurs qui les dirigent.
Vive les Comores dans la justice ; nous vaincrons.
MPAKA DAWULA YA HAKI ;
Je vous remercie.
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