Mes Chers Compatriotes
Comme nous le savons tous, la dictature aux Comores ne cesse de se durcir jour après jours. Elle affecte toutes les catégories sociaux de notre cher pays. Les Comores autrefois appelés, « havre de paix », « les îles de la lune », ou encore « les iles au parfum», se trouve aujourd’hui le pays de la misère, de la dictature et de l’injustice ; un pays où on ne reconnaît, ni loi, ni foi, ni morale.

Assoumani le colonel de Mitsoudje piétine les rites de notre civilisation, humilie nos coutumes, brise les dogmes de notre religion pour couvrir ses assassinats et tous ses bavures, pour se maintenir au pouvoir. Et restant égale à lui-même, Azali ne trouve de mieux à faire que corrompe les gens et tailler les instances juridiques à sa mesure pour avoir la main mise sur la justice. Notre pays se métamorphose et reste méconnaissable.
- Tous les compatriotes politiques sont enfermés pour des imaginaires accusations, ils ont tous en
commun le manque d’un procès équitables.
Nous condamnons avec force la séquestration de tous nos dignitaires politiques au méprit de la juridiction en vigueurs, au premier rang des quels, l’ex président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, enfermé sans procès il y a bientôt 5 ans, tout comme le gouverneur démocratiquement élu le Dr Salami Abdou.
L’ex président Ahmed Abdallah Mohamed Sambi est détenu non pas par la justice, mais par la dictature du tyran Assoumani Azali. Ni la loi judiciaire, ni les décisions des juristes, ni les preuves qu’il a promit détenir dans son bureau le griot BELOU, ni même les engagements du sans foi AMINE SOEF cousin d’Assoumani prisent pendant qu’il était ministre aux affaires étrangères, rien de tous cela n’a permit un procès juste et équitable à Sambi.
La justice au Comores, reste un rêve ou plutôt une chimère. Une Justice permettrait aux Hommes de vivre ensemble et en harmonie et permettrait de démêler le juste du faut. Elle se baserait sur des lois et se reposerait, sur les principes d’impartialité, d’indépendance de la justice, de l’égalité de tous devant la loi, ou encore, de la présomption d’innocence.
Il n’existe nulle part au monde, un mandat dépôt illimité et sans procès. Même lui-même ce premier dictateur des Comores, il aura droit à un procès avant de l’enfermer à vie, avec un peu de chance.
Mes chers camarades ;
- Notre cher pays soufre et plonge dans une immersion dangereuse. La survie est menacée.
Bientôt manger sera un lux. L’Office Nationale d’Importation du riz à son tour, comme à l’image de toutes les sociétés d’Etat aux pays, coule. Le DG Mirouwadi chefd’orchestre et 1er bailleur de la tuerie à Anjouan et son supérieur hiérarchique Mm Ambari ont désossés la comptabilité de cette société, confondant parait-il, chiffre d’affaire et bénéfice.
Aujourd’hui, le kilogramme de riz ordinaire est à 750f pour celui qui se lève tôt pour faire la bonne queue et espérer retourner chez lui avec la vie sauve. Mais Mr Mirouwadi l’homme à la latérale droite de la composition du carnage à Anjouan, à tout le soutient du sélectionneur Assoumani. En attendant les aides et les dons du riz venant des pays qui tendent vers l’émergence d’ici 30 ans, Mr Mirouwadi se fait un petit budget pour se promener dans les sous régions d’Anjouan pour rassurer à la population l’émergence des Comores promise d’ici 2030 (dans 7ans), conformément aux visions du borgne Assoumani. Dès l’arrivé de l’émergence, tous les comoriens auront droit à du riz importé. D’ici là, le DG de l’ONICOR conseille les comoriens à passer les ongles à terre pour cultiver son propre riz. Voilà les bonnes directives d’un portier, quand on lui demande de diriger.
- Quant à l’avant centre en pointe Djanfar salim, le tout puissant connait tout, après avoir prit les
4000€ à chaque athlète comorien, il n’a pas daigné payer ses dettes et effacer les traces de son escroquerie.
Au nom de nos compatriotes muselés, sans voie, levons tous nos voies pour huer cette bande des profiteurs de pouvoir. Huuuuuuuuuuu !
Aujourd’hui, on demande au ministre de l’éducation, pour donner le bon exemple aux éduqués, de payer la somme arnaquée à hauteur de 10 millions et 500 000 de plus. Cà c’est la marque des bons éducateurs chez Assoumani le pigeon voyageur.
Parlant de ces voyages inutiles, il semble qu’en Tunisie il a été cloué par l’audace d’une jeune femme qui avait ses mains propres et qui refusa de tenir les mains plein de sang du tyran. Gêné et surprit par cet attitude courageuse venant d’une femme comorienne, il failli tomber en syncope avant que le président Tunisien arrive pour écouter la peinte.
Des humiliations il en a eu et il en aura encore. Mais on écoute mieux quand on ait sourd que quand on perd la raison.
Ce préfet sera convoqué bientôt et seuls les moyens détermineront la fin.
Que vive les Comores libres ; MPAKA DAWULA YAHAKI
Je vous remercie.
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