Mes chers compatriotes.
Mes chers Camarades de lutte contre la tyrannie aux Comores.
Voici bientôt 5ans, notre pays subi une crise sans précédent. En plus de l’illégitimité d’un colonel putschiste qui prend notre pays en otage avec les siens, le peuple comorien noyant dans l’illégalité des institutions et des lois avec une main mise à la justice, aujourd’hui une pénurie alimentaire s’abat sur la population.

Les plus vulnérables vivent déjà dans une situation catastrophique. Les produits de premières nécessités manquent partout sur le territoire. Le Riz, aliment populaire de base est inaccessible pour le comorien de classe moyenne. La famine s’est installée et hélas nous ne sommes qu’au début d’une souffrance dans un court terme qui risque de durer.
Mes chers compatriotes
En cette période de crise nous voyons partout dans le monde, comment les responsables des pays font face. Ils proposent des mesurent et des solutions et associent les représentants du peuple sur toutes les directives pour entreprendre et lutter ensemble contre ce fléau commun.
➢ Nous avons vu durant la crise du COVID19, les aides et les mesures d’accompagnement, comment ils ont été gérés. Ils ont permis à ses irresponsables, membre de ce gouvernement de fait d’Assoumani Azali, s’enrichir sous le malheur des pauvres Comorienne et Comoriens. A chaque calamité, ses autorités de faits sautent sur l’occasion pour s’enrichir vite et au maximum.
➢ Les amandes sur la route et le non port de masque ont fait à Monsieur Ramaloini commandant de la gendarmerie nationale un millionnaire. Son chantier de maison est devenue un monument où les comoriens visitent pour admirer les bienfaits des procès verbaux qui ont fait le bonheur de sa famille.
Mes chers amis
➢ Les testes PCR étaient un marché de la famille d’Assoumani Azali. Même le ministère de la santé n’a aucun droit de regard sur ce qui était dans son pré-carré. La ministre a eu droit d’être la présidente par intérim au grand dam des textes de lois. Le COVID19 a fait les ravages qu’on connait mais d’autre se sont enrichie sur notre malheur.
➢ Le Cyclone Khenet, Houmedi Msaidié s’est suffisamment enrichi. Lui qui était ministre depuis des années et qui ne s’est jamais vu avec une villa. Aujourd’hui il s’est suffisamment enrichit pour faire un château hors norme.
➢ Avec l’aide au développement, nous pouvons observer la maison de CHAYHANI à Nvouni. Quand il a eu le crédit de la BAD, un Sambé a été organisé par les siens. La bande d’Azali s’enrichie sur le dos des Comoriens et profitant de leur malheur.
➢ Mes chers camardes
Les Comores meurent de faim. A Anjouan les images qui nous parviennent sont alarmantes. La sobriété met les grands comoriens à l’évidence. Pendant ce temps là, Assoumani est en tournée avec sa femme et les siens dans des festivités de danscing, au cours des quelles sa femme à remporté la médaille de meilleur râpeuse.
Mes chers amis
Assoumani s’enrichie profitant des voyages avec sa femme. L’argent qu’il décaisse pour alimenter ses comptes à l’étranger et la délégation qui paie cher juste pour fuir le pays.
➢ En plus, il accepte les refoulements des comoriens par la France à Mayotte moyennant de l’argent versé au prorata de chaque tête refoulée.
Le sinistre Dhulkamal s’est vu remplacer par Humedi Msaidié stratégiquement dans l’action. Ce dernier a fait une tournée dans les pays de la zone : en Afrique du Sud, en Tanzanie, au Ruanda, au Congo et dans bien d’autres de pays. On se demande où est partie le ministre des affaires étrangères. Après enquête on se rend compte qu’il est encore vivant et il fait le boulot dont il est doué: l’escroquerie.
Le sinistre Dhulkamal fait payer sa signature du ministère des affaires étrangères à des pauvres étudiants comoriens, voulant se rendre en Russie pour leurs études.
Dhulkamal s’est vengé sur les dos des pauvres étudiants en fixant 500€ le prix de chaque signature tampon du MIREX en bonne foi.
Une question se pose aux comoriennes et aux comoriens : Comment escroquer des étudiants de la sorte dans une totale impunité ?
Avant lui le petit Djafar Salim. L’histoire des athlètes à la Réunion a démontré que les vrais handballeurs n’ont pas eu les moyens pour aller à la Réunion. Mais Djafar Salim a trouvé les moyens de jouer le passeur direct pour venir pleurnicher à la télévision.
Mes chers Compatriotes
Pourquoi dans tout ce qui nous arrive on n’a jamais entendu les représentants du peuple ? La réponse est que tout simplement il n’y en a pas. Des gouverneurs et des Députés sont tous nommés.
Les Comores meurent de faim et la République est détruite. C’est pourquoi nous luttons pour la restauration de la République. L’ordre constitutionnel doit être rétabli et les contre pouvoirs garanties. C’est ce que nous appelons Dawula ya haki.
Vive les Comores dans la dignité !
Mpaka dawula ya haki
Discours du 28/08/22 Place de la République à Paris. – Comores Salam Politis (salam-politis.com)
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