Il a finit sa mission à la COI. Il est rentré au pays en fanfare au moment où Azali charchait des tètes et des guerriers pour affronter 2021. Le réseau Bolero se chargeait pour vendre « MAKRIDINE ». Mais comme il a les yeux longs, il voulait tout ce qu’Azali et sa famille ne croient plus comme en 2002.

En vérité, Boléro voulait le poste de Ministre 1er, dans un semblant de Gouvernement d’ouverture, en prévision d’une éventuelle transition, qui lui permettrait d’agir comme en 2002, lorsqu’il fut Président par intérim. Avant même de rentrer au pays, Il avait même commencé à prendre contact avec des leaders de l’union de l’opposition.
À Moroni, on lui a dit pas de participation à un Gouvernement d’Azali. À Moheli, le M17 ne veut pas entendre parler de Boléro. Ce dernier s’est retrouvé sans argument pour convaincre les azalistes qu’il serait une solution. D’autant qu’Abdouloihabi (avec Azali par haine anti-Sambi) n’avait pas arrêté de rappeler à la Mouvance présidentielle qu’on ne peut pas toujours marcher sur le Droit, sinon cela finit par se retourner contre les gouvernants.
Abdo Soefou n’a toujours pas digéré l’humiliation devant Farouata au 2e tour du Gouvernorat et rêve de revanche. Mais, Azali pense que tout s’achète. Sauf que la mort de Djaza hante les esprits…
À regarder de près, Abdouloihabi n’intéresserait pas trop Azali car il ne lui apporterait rien. Ni dans le Hambou ni à Iconi. Et, pour le Droit, Il a le mercenaire N.Abodo et la …… Harmiya
Donc pour Boléro, à part ses « makres » de Kirikou, il ne pourrait rien apporter de plus à Mohéli et Ngazidja. Ce dernier attend donc que l’effet Dhoulkamal fasse ses dégâts collatéraux pour refaire surface.
Salam Politis
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