Loin de toi, mon cœur et mes prières t’accompagnent, cher Foundi Inzoudine Moummad Alhadji, alisa Abous Roukana.
Depuis hier, des cris se lèvent pour dénoncer le traitement indigne que tu es en train de subir.
Je sais que, moralement, tu vas bien et que tu es fort. Mais ton état de santé gravement dégradé interpelle tout le monde sauf ceux qui t’infligent ce traitement inhumain. Avec tes enfants et tous tes proches, je pleure et mon cœur saigne.

Physiquement loin de toi, je n’ai que mes larmes pour éteindre le feu de souffrance et de douleur que tu ressens. J’ose espérer que tu ne subiras pas le même sort que Gazon, Bapale… et les autres.
Avant toi, d’autres compatriotes ont été tués et d’autres encore sont injustement incarcérés. L’ancien président A.A.M. Sambi, le gouverneur Salami et leurs consorts attendent encore que justice soit faite.
Malheureusement, l’injustice et la partialité continuent de faire des victimes.
- Albert Camus a dit : » J’AI COMPRIS QU’IL NE SUFFISAIT PAS DE DENONCER L’INJUSTICE, IL FALLAIT DONNER SA VIE POUR LA COMBATTRE «
Ali Abdou
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